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  • : Stellamaris. Poèmes et photographie
  • : Poésie classique et photographie, mis en résonance l'un avec l'autre - Edition
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  • Stellamaris
  • Poète et photographe, explorant tout particulièrement les résonances entre l'image et l'écrit
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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 10:34

(Illustration : votre serviteur)
(Forme : "doucet", forme inventée par mon ami de plume Michel Doucet)

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 17:16

Le premier vers est de mon ami Flormed

(Illustration : Photographie de l'auteur, arbres en fleurs à Brest à la fin de l'hiver)

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 19:36

Les cheveux de la terre / / Les cheveux de la terre / Prisent si fort le vent / – Tant la brise légère / Que l’orage éprouvant – / / Que toujours, en rêvant, / Accueillant sa caresse, / Ils dansent, n’ont de cesse, / Dans leur amour fervent, / / Que d’en goûter l’ivresse / Encor plus chaque jour, / Goulûment, sans faiblesse ; / Leur cœur est sans détour ! / / Ah, que comme eux je vive ! / Que je puisse, comme eux, / Ne rien trouver fâcheux ; / / Que mon âme s’avive / Jusqu’à savoir goûter / Sans se désappointer / / – On la dira naïve ? – / L’hiver comme l’été ; / Quelle félicité ! / / Stellamaris

(Carillon)

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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 09:46

(Glose sur 4 vers d'un de mes anciens poèmes)

Cueillez les jours ! / / Pourquoi vous lamenter, pleurer à larmes fortes, / Regrettant la saison, le froid ? Moi, peu m’en chaut ! / Malgré la météo, dans mon cœur il fait chaud : / Quand l’on cueille les jours, les heures sont accortes ! / / Vivez heure après heure, et tel Casanova / Qui goûtait chaque femme – « Une autre fleur exquise ! », / Savourez-les, faisant assaut de gourmandise ; / Accueillez donc la vie, et chantez à tout va / / Les merveilles sans fin que Dieu nous réserva / Et distille toujours quand on ouvre son âme / Pour voir en chaque instant danser sa vive flamme ! / Steren Mor vous le dit ! Voyez cette nova / / De couleurs et de sons ; que toutes fibres mortes / Revivent en votre être, et dansent en tous lieux ! / Soyez tels des enfants, rassasiant vos yeux / De bonheurs inconnus ; que d’émotions fortes ! / / Stellamaris

(Photographie : A Brest en hiver)

(Steren Mor : Stella Maris en breton)

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 21:38

Le premier vers n'est pas de moi ; c'est le titre d'un poème d'un ami de plume, Laurent, que j'aimerais beaucoup compter parmi mes auteurs ! Vous pouvez le lire sur le forum http://plumes.au.vent.xooit.fr

À mes auteurs / / À l’aube de mes nuits, / Au son d’une musique / Au fort accent épique, / Pour repousser les bruits / / Des tracas qui, depuis / L’aube, pique après pique, / Me font tourner bourrique / Au point que plus n’en puis, / / Je ressource mon âme / Avec vous, mes auteurs, / Mes amis, mon dictame ! / / Vos écrits sont des fleurs, / Dont le parfum m'enflamme ; / Vous êtes mes bonheurs ! / / Stellamaris

(Photographie : Le Pont de Recouvrance à Brest)

(Sonnet espagnol)

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 21:06

Après avoir aidé un ami à déménager... / / Mes os sont lapidés, / Transpercés par la lame / De becs de corvidés / Qu’un noir hiver affame, / / Mes muscles trop bandés / Hier, chacun le clame, / Se croient suicidés, / Défunts ; terrible drame ? / / Avec eux mes soucis / Se sont enfuis, oh joie, / Et je les crois occis : / / L’amitié les foudroie ; / Que sous leur ramassis / Plus jamais je ne ploie ! / / Stellamaris

(Sonnet espagnol)

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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 22:31

Blason de l’oreille / / Louerai-je assez l’oreille, / Cette pure merveille / Dont notre créateur / A su doter le cœur, / Qu’on ne soit solitaires, / Sans parents, sœurs, ou frères ? / Quel bonheur d’écouter, / Ah, sachons le goûter ! / Car si l’on communie / Ainsi, nul ne le nie, / L’on peut voir que bientôt / Se desserre l’étau / De l’âpre solitude ; / Et s’enfuit l’hébétude / Qui sans remède étreint / Ceux dont l’esprit d’airain, / Replié sur lui-même, / Ne sait dire « Je t’aime » / Et n’entend plus que soi, / Seul objet de sa foi ! / Mais celui qui s’oublie, / Avec joie, il se lie / À celui qu’il entend ; / Si son être se tend / Vers lui, lors son errance / Deviendra confiance / Et, chaque jour plus fort, / À la vie, à la mort, / De l’amitié la flamme / Réchauffera son âme ! / Car dès que je t'entends / Vers le bonheur je tends ; / Sois ouverte à mes dits, / Je suis au paradis ! / / Stellamaris

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 12:02

La vie / / La vie est un chemin tracé si près d’eaux vives / Que le moindre faux pas pourrait nous y noyer ; / Et certains prennent peur, et leurs âmes oisives / Refusent d’avancer ; mais rester au foyer, / / C’est s’en faire un tombeau ! Sais-tu que tu te prives / De leurs embruns, si vifs qu’ils pourraient t’éveiller, / Fouettant jusqu’au sang tes humeurs maladives ? / À nouveau, tu saurais comment t’émerveiller ! / / Avance donc sans crainte ou peur d’aucune sorte / Et ne reste reclus, semblable à l’ombre morte / D’un fantôme oublié de tous, désespéré ! / / Si, pour ne point périr, tu vis tel un défunt, / Ne perdras-tu ton gain à rester apeuré ? / Du torrent, vient humer le somptueux parfum ! / / Stellamaris

(Photographie : Le Pont des Fées en forêt de Huelgoat)

(Sonnet français)

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 02:31

Blason des âmes / / Pourquoi blasonner les corps, / Les louer de mots si forts / Que l’on croirait que l’humain / Ne veut d’autre lendemain ? / Depuis toujours, maint artiste / Chante que la chair est triste / En un pleur si déchirant, / Qu’on entend couler le sang / De leurs larmes ! Leurs complaintes / Sont le fruits de leurs étreintes, / Et vous n’êtes convaincus, / Ne regardez que les culs ? / Pauvres sots ! C’est la folie / Qui vous guette et qui vous lie ! / Je veux contempler les âmes, / Me réchauffer à leurs flammes ; / Ah, que je sois emporté / Sur les flots de la bonté / Par un esquif de tendresse, / Lentement – car rien ne presse – / Jusqu’à ce port attendu / Comme un espoir, plus qu’un dû, / Celui de la confiance ; / Car c’est la sainte semence / D’où peut germer le bonheur, / Celui seul qui vient du cœur ! / Si l’union d’un moment / Peut être un acte qui ment, / Un amour pur est merveille / Où chaque heure s’ensoleille ! / Nul ne peut le profaner ; / Cela, je veux blasonner ! / / Stellamaris

(Photographie : Ballet de "Roméo et Juliette", photographie prise sur le site de la Scala de Milan)

(Le blason est une forme poétique ancienne, généralement utilisée pour louer le corps féminin)

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 12:27

Brouillard / / Une chape de brume a recouvert la ville, / On ne voit, n’entend plus rien / Je me sens bien, / Jubile : / / Je file, / Vogue sans lien / Sur des flots nus, l’air de rien... / Et c’est alors qu’à l’horizon, je vois une île... / / Est-ce au loin ? Est-ce en moi ? Je ne sais... C’est mon âme, / / Le port auquel j’aspire, où s’éveille ma flamme ! / / Stellamaris(Sabliet)

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